Cet été, il y aura du Laframboise dans Asimov’s ET Analog!
Je nage encore dans cet émerveillement, car Asimov’s a mon nom en couverture! Wow! C’est mon 3e texte publié dans Asimov’s et le premier dans Analog tous deux dans leur numéro de Juillet-Août. Comme ma fête est à la mi-juillet… j’apprécie de merveilleux cadeau! Les deux sont des revues que je visais depuis des années.
Dans le domaine de la littérature de science-fiction, Asimov’s Science Fiction, fondé par Isaac Asimov lui-même, et Analog (anciennement Astounding SF longtemps dirigé par John Campbell, maintenant dirigé par Trevor Quachri), sont des magazine reconnus qui reçoivent plusieurs milliers de textes de fiction par an. Mon papa serait très fier aujourd’hui, lui qui aimait bien les nouvelles d’Isaac Asimov.
Une étape excitante
Mon nom au bas de la couverture du Asimov’s (dirigé par Sheila Williams) marque une étape excitante (amais pas une fin, là!) dans ma carrière d’écrivaine de SF. Cet honneur suit un looooong parcours de soumissions, d’écriture, de réécriture, de découragement, de nuits blanches…
Les nouvelles, toute deux de la science fiction bien dure et croustillante, sont :
En vente maintenant, courez vous procurer les copies papier dans les kiosques à journaux et les boutiques de presse qui offrent un grand choix de magazines. Sinon, les copies électroniques sont aussi disponibles.
Garder les nouvelles à l’oeil
Ça commence à faire beaucoup de nouvelles écrites, donc il faut les garder à l’oeil! Ci-bas, un extrait de ma feuille Excel de soumissions en 2020, pour ne pas mêler les textes. J’en ai maintenant plus de 85, le tableau s’allonge sans cesse. J’ai dû mettre mes textes anglais et français dans des tableaux séparés. Ci-dessous, les textes en anglais. Les cases rouges, les plus nombreuses, sont les refus, les vertes des acceptations, les jaunes des soumissions. Quant aux bleues, eh bien, elles attendent en file car certains magazines limitent les soumissions. On voit que les premières nouvelles à gauche ont eu beaucoup de refus.
Tout cela ne doit pas nous faire oublier que ce sont souvent de courageux bénévoles qui sont les slush readers qui se tapent le premier tri. Et comme le niveau d’habileté monte, le départage s’avère plus gourmand en temps. Deux magazines au moins ont fermé leur fenêtre de soumission pour l’année car ils avaient assez de textes engrangés! Je suis donc reconnaissante pour les quelque éditeurs qui ont écrit des commentaires dans leur lettres de refus.
(Et parfois, comme pour Lackington’s, les courageux-ses sont fatigués, épuisés, la relève absente: et iels ont cloturé leur dernier numéro. Voir ici pour le compte-rendu du numéro 25 par mon confrère Graeme Cameron. Allez acheter leur numéro électronique pour leur dire merci!
Quoi qu’il en soit, ce n’est pas une fin, mais une étape.
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